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Ubikey au CES de Vegas : "Il va falloir transformer les prospects mais nous n'aurions pas pu espérer plus de prises de contacts"

#Startup

La start-up Ubikey, issue de la plateforme dédiée aux industries numériques et culturelles, a réalisé une petite échappée au CES de Las Vegas pour la première fois. Le résultat : épuisant mais extrêmement bénéfique pour le business ! Interview express de Julien Bellenger, Directeur du Développement d'Ubikey.

Etait-ce votre premier CES ? Qu'attendiez-vous de cette participation au CES et qu'en avez-vous pensé ?

Oui c'était notre premier. Nous souhaitions avant tout rencontrer des décideurs français et gagner en visibilité. Le salon a tenu toutes ses promesses avec plus d'une centaine de contacts très qualifiés, notamment français. Le salon est incroyable, autant en superficie qu'en nombre de visiteurs. L'innovation est partout, même si je m'attendais à plus de ruptures technologiques.

"L'innovation est partout, même si je m'attendais à plus de ruptures technologiques."

Si vous deviez dresser un bilan de ces journées, que diriez-vous ?

Evidemment, il va falloir transformer les prospects mais nous n'aurions pas pu espérer plus de prises de contacts. Les visites s'enchainaient en continu. Aucune pause possible... C'était épuisant !

"Les visites s'enchainaient en continu. Aucune pause possible..."

Repartiriez-vous l'an prochain ?

Pourquoi pas si nous avons l'opportunité d'être en partie financé comme cette année. Sans ce financement, il faut prévoir un budget important de l'ordre de 10 k€.

Quels conseils donneriez-vous aux start-up qui souhaitent participer à ce salon d'envergure ?

Il faut être deux grand minimum et arriver reposé. Prévoir également une organisation sans faille pour la prise de note et l'organisation des contacts. D'un point de vue logistique, ne pas hésiter à utiliser des couleurs vives pour les tenues des exposants, prévoir 1000 plaquettes au minimum (500 en français et 500 en anglais).

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IA et création de contenus : Quand l’intelligence artificielle fait la Une des médias

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Entretien croisé avec les médias Briefstory et RapMinerz

 

Il est impossible aujourd’hui d’ignorer et de fermer les yeux sur les applications de l’IA dans la création de contenus. Selon un rapport du laboratoire d'innovation d'Europol publié cette année, 90% du contenu en ligne pourrait être généré par des IA d’ici 2026. Cette nouvelle donne est portée sur le devant de la scène par l’industrie des médias en particulier qui, elle aussi, doit composer et évoluer avec les possibilités de l’IA. Entre gain de temps et créativité, il est nécessaire de dessiner les contours de cet outil pour mieux le comprendre, identifier ses limites et maîtriser pleinement ses enjeux. A travers cet entretien croisé, Jules Dubernard et Mathieu Bertolo, qui ont cofondé respectivement les médias RapMinerz et Briefstory, deux médias qui reposent sur l’IA, partagent leurs visions et leurs usages de cette technologie.

IA et industries créatives : quelles applications pour la création ?

 

L'intelligence artificielle (IA) est un outil formidable dans le monde des entreprises et des nouvelles technologies. Ses applications, comme la reconnaissance vocale dans les téléphones, la vision assistée des voitures autonomes ou les moteurs de recommandation sur les plateformes de divertissement, sont bien connues même si le fonctionnement de l’IA reste assez flou auprès du grand public. Les technologies de l’IA sont présentes sur toute la chaîne de valeur de la création, de la production et de la diffusion de contenus numériques créatifs. Pour comprendre les applications de l’IA dans les industries culturelles et créatives et se projeter dans ses usages futurs, il est nécessaire d’explorer pas à pas ce qu’est une IA et comment cette technologie fonctionne.